Bénéficiaires de la bourse internationale McCall MacBain 2020

Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 13 janvier 2025, 16 heures. Cliquez ici pour vous inscrire à une prochaine session de Questions & Réponses (en anglais) le 10 janvier, ou regardez cette session d’information enregistrée (en anglais).

Shirley

Sciences politiques, microbiologie et immunologie, Université McGill

Année d’immersion : en allemand, en Allemagne


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Shirley s’intéresse aux forums sur les affaires internationales, auxquels elle participe et à propos desquels elle écrit. Dès sa première année à l’université, elle a rejoint l’équipe de la Revue Internationale de McGill. Rédactrice à ses débuts, elle est aujourd’hui rédactrice en chef. Shirley a représenté l’Université McGill lors de congrès internationaux, dont un sur la défense des droits des femmes et un autre sur la condition féminine. L’été dernier, elle a fait cinq semaines d’immersion en français à Saguenay, au Québec, avant de travailler dans une petite organisation environnementale à but non lucratif de Chicoutimi. Elle a travaillé dans un laboratoire et réalisé un stage en marketing à Shanghai, et fait un stage en politique étrangère à Washington. Dans le cadre du programme de bourses, Shirley se rendra en Allemagne où elle souhaite observer de près l’immense influence du pays sur la politique moderne, tout en apprenant l’allemand.
Claire

Sciences politiques et religions, Université McGill

Année d’immersion : en espagnol, en Espagne


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Claire est profondément engagée dans diverses communautés, à commencer par celle de Welland, sa ville natale, en Ontario, où elle a coécrit et recueilli des fonds pour une production théâtrale mettant de l’avant les femmes, les filles et les personnes bispirituelles autochtones disparues et assassinées. Claire a travaillé dans un organisme dispensant des services sociaux, a fait du bénévolat dans un café servant de point de rencontre aux artistes locaux et a participé à plusieurs campagnes politiques municipales. Dans les communautés dont elle fait partie, elle joue un rôle de relais, notamment, à l’heure actuelle, dans le cadre d’un effort concerté visant à mettre sur pied une clinique dentaire mobile pour une communauté de sans-abri dans l’est de Montréal. À l’extérieur du pays, Claire a passé du temps en Italie pour en apprendre davantage sur la religion romaine. Elle entend s’intéresser aux effets de la décolonisation sur les comportements politiques pendant son année d’immersion en Espagne.
Béatrice

Génie des bioressources, Université McGill

Année d’immersion : en espagnol, au Mexique


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Béatrice s’intéresse aux questions liées à la sécurité alimentaire, à l’urbanisation, à l’agriculture et à l’environnement. Elle a créé des initiatives d’agriculture urbaine, travaillé à la production de biomasse et contribué à la création d’un marché alimentaire itinérant dans une région où les aliments nutritifs à prix abordable étaient difficiles d’accès. Béatrice s’est impliquée auprès de communautés marginalisées, notamment des adultes vivant avec un handicap, des nouveaux et nouvelles arrivant·es et des jeunes délinquant·es. Dans tous les groupes au sein desquels elle s’investit, Béatrice observe que le savoir et le réseau que possèdent les personnes marginalisées sont, pour la société, des ressources clés permettant de solutionner quantité de problématiques. Béatrice passera son année d’immersion au Mexique, où elle veut en apprendre davantage sur les approches agricoles fondées sur la durabilité et la résilience.
Janella

Ressources naturelles et biologie de l’environnement, Université McGill

Année d’immersion : en coréen, en Corée du Sud


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Janella se passionne pour la faune de même que pour la santé et la préservation de l’environnement. Au cégep, elle a obtenu une majeure en développement durable qui exigeait de s’investir en intensif hors du cadre scolaire dans la conservation de l’eau, le compostage et la gestion des jardins. Dans le but de devenir biologiste ou zoologiste, elle travaille actuellement à l’obtention d’un diplôme en ressources naturelles et en biologie de l’environnement. Motivée par l’apprentissage de nouvelles langues, Janella étudie le coréen de façon autodidacte depuis quatre ans. Lorsqu’elle n’est pas en train de travailler ou d’étudier, Janella chante dans une chorale gospel. Avec son expérience en laboratoire, dans les espaces verts et en recherche sur les animaux, Janella possède un bagage varié qu’elle mettra à contribution durant son année d’immersion en Corée, où elle espère se familiariser avec les espèces indigènes et perfectionner son coréen.
Hugh

Génie mécanique, Université McGill

Année d’immersion : en français, au Sénégal


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Avant d’emménager à Montréal pour étudier à l’Université McGill en tant que boursier Loran, Hugh a été pompier volontaire, athlète de piste et président fondateur du club de mathématiques de son école secondaire, à Sydney. À McGill, Hugh a siégé au conseil de résidence. Il a joué dans l’équipe universitaire de rugby et enseigne actuellement la natation à des étudiant·es vivant avec un handicap. L’été dernier, Hugh a passé trois mois à Panama City à l’occasion d’un stage dans une entreprise de robotique qui se sert de drones dans des projets humanitaires, comme l’analyse de la santé des cultures, la modélisation des risques d’inondation et la réduction des insectes porteurs de maladies. Précédemment, Hugh a vécu à Trois-Rivières dans le cadre du programme Explore. Pendant son année d’immersion, il souhaite se familiariser avec la politique, l’histoire et la culture du Sénégal et apprendre le français.
Parnika

Arts et sciences, Université McMaster

Année d’immersion : en français, au Maroc


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Parnika aborde la justice sous l’angle de la santé et de la politique, dans le cadre tant de ses études que de son engagement communautaire. Elle s’investit tout particulièrement dans la sensibilisation aux inégalités en matière de santé chez les Premières Nations, dans le soutien par les pairs aux personnes ayant survécu à la violence conjugale, sexuelle et sexiste et dans l’incitation à la mobilisation chez les jeunes sur des questions comme l’embourgeoisement à Hamilton. Parnika est bénévole pour un service portes ouvertes destiné aux personnes qui consomment des drogues, où elle contribue à l’animation d’un forum de discussion et de défense des intérêts des personnes ayant une expérience vécue de consommation de drogues. Ces derniers étés, Parnika a réalisé des stages dans une jeune entreprise œuvrant en santé à Vancouver, elle a pris part à la création d’une microentreprise dans le village de Musembe, dans le district de Lugari, au Kenya, et elle a travaillé comme tutrice de mathématiques et d’anglais. Parnika est pilote de planeur et d’avion, et elle vole dans ses temps libres. Elle passera son année d’immersion au Maroc, où elle désire découvrir des moyens culturellement appropriés d’améliorer les résultats en santé pour les populations à risque du pays.
Andy

Génie logiciel, Université McMaster

Année d’immersion : en japonais, au Japon


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Andy a travaillé comme conseiller communautaire en résidence et a remporté le prix d’excellence en développement communautaire 2019 de Residence Life, à l’Université McMaster. Il a contribué, notamment, à générer des occasions de développement professionnel et universitaire (une compétition de génie pour les étudiant·es de la résidence, par exemple, servant de pratique en vue d’une épreuve réelle), à rapprocher les divers clubs dans une perspective de collaboration et à soutenir la croissance personnelle des étudiant·es. Par le passé, Andy a travaillé comme coordonnateur de la logistique pour la McMaster Engineering Competition, un concours universitaire auquel participent quelque 500 personnes. Andy travaille actuellement comme tuteur à temps partiel au département de génie en plus de réaliser un stage en développement de logiciels chez AMD, une entreprise qui produit des outils informatiques et graphiques à haut rendement.
Sneha

Arts et sciences, Université McMaster

Année d’immersion : en espagnol, en Argentine


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La compréhension et la défense des intérêts transnationaux et transculturels sont au cœur du travail de Sneha. Fondatrice du club War Child, à l’Université McMaster, Sneha supervise le comité de presse et coordonne les efforts de mobilisation autour des questions sociales et politiques pour les services de diversité de l’association étudiante et le groupe de discussion du cercle sur l’identité de genre et la sexualité de McMaster. Sneha est activement engagée dans les enjeux civiques aussi bien que mondiaux. Elle a été codirectrice générale d’une organisation de Peterborough encourageant la participation des jeunes à la vie de la communauté et a fait du bénévolat auprès de la Nogojiwanong Youth Solidarity Initiative, un regroupement qui travaille à établir des liens entre les jeunes autochtones et les jeunes immigrant·es. Sneha a fait partie de l’équipe de recherche derrière la rédaction de Women on the Ballot, un livre sur la représentation des femmes dans la politique canadienne. À l’Université McMaster, elle continue de mener des recherches sur des sujets liés à la démocratie et aux élections. L’été dernier, Sneha a été conseillère pour le camp de lecture du Frontier College, à Wabaseemong et à Neskantaga, en Ontario.
Samidha

Philosophie, Université McMaster

Année d’immersion : en arabe, en Égypte


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Samidha est ambassadrice, éducatrice et conférencière dans le cadre de multiples initiatives dédiées à l’aide à l’enfance, notamment à titre de conseillère auprès d’organismes municipaux, provinciaux et nationaux. En tant que conseillère jeunesse pour la Société d’aide à l’enfance catholique de Hamilton, Samidha crée et oriente des événements destinés aux jeunes placés (actuellement et dans le passé) en famille d’accueil et agit comme personne-ressource pour tout ce qui a trait aux changements de politiques et aux programmes de placement en famille d’accueil. Elle a été tutrice pour les Sociétés d’aide à l’enfance de Hamilton et contribue à la formation des parents d’accueil et des intervenant·es. Sur son campus, Samidha a siégé au conseil étudiant de première année de l’école de commerce DeGroote et a aidé à gérer les activités pour les étudiant·es de première année. L’été dernier, elle a effectué un stage d’analyste au siège social de la CIBC, où elle a travaillé dans les secteurs de la lutte au blanchiment d’argent, du développement web et des ressources humaines. Cette année, en Égypte, Samidha espère se joindre à des organisations à but non lucratif qui œuvrent au service des jeunes tout en apprenant l’arabe grâce à sa bourse.

* Seulement neuf boursier·ères, parmi une cohorte plus grande, ont réalisé leur année d’immersion en 2020 en raison de l’épidémie de COVID-19.

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