Bénéficiaires de la bourse internationale McCall MacBain 2019
Suzanne
Science politique, Université McGill
Année d’immersion : en portugais, au Brésil
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Suzanne s’intéresse de près à la justice sociale et au travail humanitaire, ce qui l’a amenée à travailler avec des organismes comme Oxfam-Québec; Equitas, le centre international d’éducation aux droits humains; et Opportutoring, qui offre des cours d’anglais par Skype aux réfugié·es d’Afghanistan et de Syrie. Suzanne souhaite ajouter le portugais à sa boîte à outils, qui comprend déjà l’espagnol (intermédiaire) et le chinois (élémentaire), et travailler sur des questions de justice sociale avec les membres de communautés à risque au Brésil. |
Corinne
Études sur le genre et études autochtones, Université McGill
Année d’immersion : en espagnol, au Chili
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Corinne envisage une carrière en diplomatie et en politique. Qu’il s’agisse de soutenir la clientèle des résidences étudiantes comme assistante, de travailler pour la Ligue nationale d’improvisation ou de militer en faveur de l’utilisation d’une langue épicène au sein de l’association étudiante de l’université, Corinne place l’inclusion et le respect pour tous·tes au centre de sa vie. Ses cours de kanyen’kehà:ka à McGill l’ont incitée à poursuivre l’apprentissage des langues, et elle est motivée par l’idée d’améliorer ses compétences en espagnol pendant son séjour au Chili. |
Georgia
Commerce, Université McGill
Année d’immersion : en espagnol, en Argentine
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Georgia se passionne pour le droit de l’environnement et la convergence et l’intégration de la durabilité aux mesures de profitabilité dans le monde des affaires. Originaire de Fredericton, au Nouveau-Brunswick, elle étudie le commerce, plus particulièrement la gestion axée sur la durabilité et la gestion internationale à McGill, convaincue que ces deux champs de spécialisation seront de plus en plus utiles à mesure que les relations entre le Canada et l’Amérique latine se développent. Voilà par ailleurs ce qui explique son intérêt pour l’espagnol et l’Argentine. Pendant son séjour, elle voudrait travailler sur des questions liées à la durabilité et souhaite se joindre à la section locale du CISV, une organisation sans but lucratif à laquelle elle consacre du temps depuis une dizaine d’années et qui a pour mission de créer des milieux de vie plus justes et pacifiques par l’éducation et la mobilisation. |
René
Génie électrique, Université McGill
Année d’immersion : en espagnol, au Mexique*
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L’intérêt de René pour le génie électrique s’étend aux véhicules électriques et à l’activité minière. Il voit dans son séjour au Mexique une occasion rêvée d’approfondir ses connaissances en la matière et espère travailler pour une entreprise d’envergure internationale où il pourra parfaire ses compétences tant professionnelles que culturelles. Fervent athlète (soccer, tennis et même hockey subaquatique), il compte se joindre à des équipes sportives pour pratiquer l’espagnol et créer des liens dans sa nouvelle communauté. *En raison de la pandémie de COVID-19, René n’a pas pu compléter son année au Mexique. Il a plus tard participé à un programme partiel d’échange international en Colombie. |
Eric
Commerce, Université McGill
Année d’immersion : en suédois, en Suède
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Originaire d’une petite ville du nord-ouest de l’Ontario, Eric est tout à la fois fier de ses racines et désireux de tisser des liens au-delà de nos frontières. C’est pourquoi il a participé à un échange en Provence, en France, pendant ses études secondaires, et par la suite choisi l’Université McGill. Eric s’intéresse à la question de la durabilité appliquée à l’investissement. Il se demande, plus précisément, quels investissements internationaux pourraient contribuer à assurer la sécurité de nos fonds de pension? Le Canada devrait-il se doter d’un fonds souverain? Durant son séjour en Suède, il entend s’inspirer des pratiques de la région et se familiariser avec la culture des lieux. |
Elina
Économie et développement international, Université McGill
Année d’immersion : en arabe, au Liban
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Elina a grandi en partie au Bahreïn et aux Émirats arabes unis. Elle est donc en terrain connu quand il s’agit de voyager ou encore d’apprendre des langues – ses parents parlaient l’urdu à la maison. Elina souhaite apprendre l’arabe et retourner au Moyen-Orient pour travailler sur les questions d’inégalité. À Beyrouth, elle espère œuvrer au sein d’un organisme international qui offre du soutien aux réfugié·es. Son expérience humanitaire inclut un poste de coprésidente de l’organisme Étudiants de McGill pour Habitat pour l’humanité, à Montréal. Elina étudie actuellement en économie et en développement international à l’Université McGill. |
Sydney
Histoire et études russes, Université McGill
Année d’immersion : en russe, en Russie
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Sydney est fascinée par les langues et par l’histoire depuis l’enfance. Sa première année d’études à l’Université McGill a été l’occasion pour elle d’approfondir sa passion pour la langue, la littérature et la culture russes et de confirmer son désir de passer du temps en Russie pour, à terme, enseigner ces matières au niveau postsecondaire. Dans le cadre de ses études, Sydney s’intéresse aussi aux communautés juives de l’Europe de l’Est et, par le journalisme, elle aime à alimenter la réflexion sur d’importants débats d’idées. |
Celia
Systèmes urbains, Université McGill
Année d’immersion : en espagnol, en Argentine
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Celia se passionne pour l’aménagement urbain et le développement durable en lien avec les gens et la planète. En 2018, elle a effectué des recherches à Hanoi, au Vietnam, dans le cadre de sa majeure, et se levait à trois heures du matin pour interviewer de jeunes vendeur·ses itinérant·es des régions voisines qui s’y trouvaient pour des raisons économiques. Contrariée d’avoir à utiliser un service de traduction, elle est heureuse d’apprendre l’espagnol pour communiquer directement avec les communautés des centres urbains en expansion et contribuer à bâtir avec elles un avenir durable. |
Fern
Systèmes urbains, Université McGill
Année d’immersion : en espagnol, au Mexique
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Sur le campus de l’université, Fern fait partie du club d’escrime et du regroupement Queer McGill. L’été dernier, iel a travaillé auprès de demandeurs et demandeuses d’asile, les aidant à s’installer à Montréal. |
Cam
Kinésiologie, Université de Toronto
Année d’immersion : en espagnol, en Espagne
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Cam est passionné de kinésiologie et intéressé à continuer en droit après ses études de premier cycle. Cet ancien champion et capitaine de l’équipe provinciale de water-polo étudie actuellement au baccalauréat en kinésiologie. Pour lui, qui a grandi sur une petite ferme d’agrément dans un village de la Colombie-Britannique, déménager à Toronto pour étudier représentait un défi. Il est aujourd’hui prêt à en relever un autre en partant à l’étranger. Il est impatient d’apprendre l’espagnol et de faire de l’Espagne sa deuxième maison. |
Kieran
Sciences et génie, Université de Toronto
Année d’immersion : en mandarin, à Taïwan
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Kieran a un grand intérêt pour le génie, et il espère continuer à étendre ses connaissances sur les applications concrètes de l’intelligence artificielle. Durant son parcours au secondaire, il a fondé un programme de tutorat bénévole. Il est actuellement chef de projet pour VEEP, à l’Université de Toronto, un club dirigé par des étudiant·es qui fournit à des organismes sans but lucratif locaux de l’aide en matière d’ingénierie. Mordu de culture taïwanaise, Kieran est très enthousiaste à l’idée d’apprendre le mandarin à Taïwan. Pour lui, l’apprentissage d’une langue étrangère fait partie intégrante de sa formation d’ingénieur. |
Aditi
Systèmes mondiaux de gestion des ressources, Université de la Colombie-Britannique
Année d’immersion : en français, en France
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Aditi se spécialise dans le domaine de la recherche en politiques économiques et se questionne plus précisément sur les modèles qui permettent de s’attaquer aux inégalités économiques. Cette Torontoise fréquente l’Université de la Colombie-Britannique en tant qu’étudiante du programme d’économie consacré aux systèmes qui régissent les ressources mondiales. Après son année de Science One, le programme d’immersion d’un an en sciences de l’université, Aditi a fondé et coordonné un atelier mensuel sur le bien-être qui favorise une transition saine vers le postsecondaire. Lorsqu’elle sera en France, en dehors de sa zone de confort, Aditi aimerait rejoindre des organismes communautaires qui offrent du soutien aux réfugié·es. |
Callista
Relations internationales, Université Western
Année d’immersion : en mandarin, en Chine
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La politique étrangère occupe une place centrale dans les intérêts de Callista, qui entrevoit pour elle-même un avenir en politique. Originaire de Squamish, en Colombie-Britannique, elle étudie actuellement à l’Université Western en relations internationales. Durant cinq années consécutives, elle a fait partie du parlement des jeunes de sa province à titre de secrétaire. Sur son campus, elle a contribué à mettre en œuvre un module de formation visant à aider les jeunes leaders à gérer la divulgation des aides financières. Animée depuis l’enfance d’une grande curiosité vis-à-vis de l’histoire et de la politique chinoises, Callista profite de chacun de ses travaux sur des questions étrangères pour écrire à propos de la Chine. Elle a hâte d’approfondir ses apprentissages et de vivre cette expérience d’immersion. |
Faris
Arts et sciences, Université McMaster
Année d’immersion : en espagnol, en Uruguay
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Faris est passionné de justice mondiale et de protection de l’environnement. Il fait actuellement partie du comité de direction de l’Ontario Public Interest Research Group de l’Université McMaster et est représentant en technologies de l’information pour l’association étudiante ismaélite. Faris rêve depuis longtemps de visiter l’Amérique du Sud, dont la vie culturelle et la puissance politique le fascinent. Il est impatient de découvrir une nouvelle perspective sur le monde et de maîtriser l’espagnol. |
Janine
Sciences de l’agriculture et de l’environnement, Université McGill
Année d’immersion : en finlandais, en Finlande
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Janine adore l’aventure et l’agriculture. Originaire de West Bay, en Nouvelle-Écosse, elle étudie aujourd’hui les sciences agroenvironnementales au campus Macdonald de l’Université McGill, où elle a récemment cofondé le club Women in Agriculture, un réseau de soutien pour les femmes dans cette industrie dominée par les hommes. Elle avait auparavant dirigé un programme communautaire pensé pour divertir les jeunes, en région, durant les longs trajets d’autobus vers l’école et au retour à la maison. Janine, qui a vécu à l’étranger dans son enfance, a hâte de revivre l’expérience de plonger dans une culture différente et de former une nouvelle communauté. Elle est emballée à l’idée d’apprendre les langues sames et de continuer à étudier les sujets qui la passionnent. |
Jes
Sciences politiques, Université d’Ottawa
Année d’immersion : en estonien, en Estonie
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Jes est interpellée par une carrière en politique et par la question des politiques environnementales. Originaire de Whitehorse, au Yukon, elle est à l’heure actuelle inscrite en science politique à l’Université d’Ottawa. Elle coordonne un programme de mentorat qu’elle a elle-même conçu, lancé et promu auprès du chapitre de la Capitale nationale du Conseil international canadien international. Elle est aussi l’une des quatre membres de l’équipe de iVote-jeVote, qui s’attache à éduquer la population sur les questions de politiques contemporaines et à alimenter les débats publics. Jes, qui a toujours été fascinée par l’Europe de l’Est, aspire à devenir une ambassadrice, mais avant tout une experte de la culture de l’Europe orientale. |
Émélie
Génie géologique, Université Queen’s
Année d’immersion : en espagnol, au Costa Rica
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Émélie se passionne tant pour le génie que pour la politique publique. À l’Université Queen’s, où elle étudie le génie géologique, elle dirige une équipe de cinq personnes dans ses fonctions de gestionnaire de projet pour Enactus, en plus d’être coordonnatrice de la sensibilisation pour Entraide universitaire mondiale du Canada. Pendant son année à l’étranger, Émélie entend sortir de sa zone de confort et prendre des cours dans le domaine des arts et des sciences sociales. Elle espère tisser de véritables amitiés et apprendre l’espagnol dans une petite ville où l’anglais n’est pas la langue dominante. |
Yuna
Sciences médicales, Université Dalhousie
Année d’immersion : en japonais, au Japon
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Yuna est fascinée par les questions de santé mentale, particulièrement celles qui touchent au domaine de la psychiatrie de l’enfance et de l’adolescence. Originaire de Moncton, au Nouveau-Brunswick, elle étudie actuellement en sciences médicales à l’Université Dalhousie. Elle est l’une des plus anciennes bénévoles de la banque alimentaire du campus et en est actuellement la responsable des communications et des médias. Yuna est aussi responsable des levées de fonds pour Art for Everyone, un regroupement étudiant qui vise à améliorer la vie des gens par l’art. Durant son année d’immersion, Yuna souhaite élargir ses perspectives, découvrir une nouvelle communauté et se préparer au test d’aptitude en japonais (JLPT). |
Abby
Sciences de la santé, Université McMaster
Année d’immersion : en espagnol, au Costa Rica
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La santé mondiale et la défense des droits passionnent Abby. Un été durant, elle a fait du bénévolat en Amérique centrale à bord du bateau Logos Hope, qui sillonne les mers du monde pour partager connaissances, assistance et espoir. Abby est par ailleurs bénévole une semaine sur deux au Manoir Ronald McDonald de Hamilton, où elle épaule les familles des enfants hospitalisés au McMaster Children’s Hospital. Elle est impatiente d’aller à la rencontre d’une nouvelle culture et espère continuer à cultiver son intérêt pour la justice sociale et la santé en faisant du bénévolat à l’étranger. |
Kartik
Arts et sciences, Université McMaster
Année d’immersion : en espagnol, en Argentine
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Kartik est passionné par l’économie et la politique de la santé. Il est membre de la section Strengthening Health and Social Systems du McMaster’s Health Forum et contribue à des projets visant à améliorer l’utilisation des données de la recherche dans l’élaboration des politiques. Pour rendre service à la communauté de McMaster, Kartik passe quatre heures par semaine sur le campus en tant que Student Walk Home Attendant. Fasciné par les transformations historiques et la beauté naturelle de l’Argentine, Kartik est très enthousiaste à l’idée d’en apprendre davantage sur ce pays et de poursuivre sa formation sur les systèmes de santé dans différents pays. |
Tereza
Sciences de la santé, Université McMaster
Année d’immersion : en mandarin, en Chine
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La santé et la diplomatie sont au cœur des priorités de Tereza. Elle est actuellement membre de la McMaster Student Representative Assembly et travaille au développement de campagnes avec les comités des affaires provinciales, fédérales et municipales. Dès sa première année à l’Université McMaster, Tereza a rejoint l’association des étudiant·es au baccalauréat en sciences de la santé et depuis, elle se consacre aux diverses initiatives du groupe. Elle a récemment assumé un rôle de premier plan dans la gestion d’un projet d’ateliers d’écriture. Tereza aimerait, à terme, faire carrière dans une organisation mondiale et estime que la Chine sera pour elle une occasion parfaite d’immersion à l’étranger. |
Tasneem
Arts et sciences, Université McMaster
Année d’immersion : en arabe, au Liban
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Les principaux champs d’intérêt de Tasneem sont la santé publique et la consultation stratégique. Actuellement représentante du programme d’arts et de sciences pour la Student Residents Association de l’Université McMaster, elle travaille à défendre les intérêts et à relayer les préoccupations de ses camarades de premier cycle. Lorqu’elle n’est pas en train d’étudier, elle travaille comme directrice générale pour HacktheCity, un organisme sans but lucratif de Hamilton, créé par les étudiant·es pour les étudiant·es, qui apporte des solutions novatrices aux problèmes urbains. Tasneem est impatiente de vivre les occasions de croissance, d’apprentissage et d’amitié que cette année à l’étranger lui offrira. |
Clare-Marie
Études anglaises et culturelles, Université McMaster
Année d’immersion : en espagnol, au Pérou
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Clare-Marie a à cœur l’enseignement et le travail auprès des jeunes. En ce moment, dans le cadre du travail bénévole qu’elle fait pour Passeport pour ma réussite, elle aide des élèves du secondaire vulnérables à faire leurs devoirs, à orienter leur carrière et à cheminer vers leurs objectifs. Ces deux dernières années, Clare-Marie a été secrétaire de Open Circle, une association de l’Université McMaster pour laquelle elle organise des événements scolaires et réfléchit à des moyens d’aider les jeunes à composer avec le stress. Intéressée par la perspective d’enseigner à l’étranger, Clare espère enseigner l’anglais aux gens de sa communauté d’accueil pendant son séjour tout en profitant de cette expérience d’immersion pour apprendre leur langue. |
Emily
Biologie chimique, Université McMaster
Année d’immersion : en espagnol, au Chili
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Emily s’intéresse de près à l’immunologie et adore travailler auprès de personnes ayant des besoins particuliers. Elle s’implique bénévolement dans le programme SWAM Hamilton, qui offre aux enfants ayant des besoins particuliers la chance d’apprendre à nager. Soucieuse de comprendre comment les adultes en situation de handicap composent avec leurs limites, Emily fait également du bénévolat pour le programme Best Buddies de l’Université McMaster. Emily est impatiente de connaître les membres de sa communauté d’accueil en Amérique du Sud. |
Emma
Mathématiques et statistiques, Université McMaster
Année d’immersion : en suédois, en Suède
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Emma se passionne pour les mathématiques, la mobilisation des jeunes et l’escalade. Elle est actuellement vice-présidente des communications pour MaSS, un regroupement qui se donne pour mission de rassembler des adeptes de mathématiques et de renverser les stéréotypes habituellement associés à cette discipline. Elle a été instructrice pour le programme Splash du MIT et a eu la chance de partager avec ses pairs plus jeunes sa fascination pour les mathématiques. Pendant son année en Suède, Emma espère faire du bénévolat auprès des réfugié·es et développer de fortes compétences linguistiques en suédois. |